Titre : |
Zazie dans le metro |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Raymond QUENEAU (1903-1976), Auteur |
Editeur : |
Paris : Gallimard |
Année de publication : |
2012 |
Collection : |
Folio num. 103 |
Importance : |
239 p. |
Présentation : |
couv. ill. |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-07-036103-8 |
Prix : |
6,20 € |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
C'est parce que l'oncle Gabriel est " danseuse de charme " que Julie Lalochère lui a confié sa fille, Zazie - pour plus de sécurité. Zazie voulait prendre le métro : mais il y a grève. Gabriel la consolera en lui faisant voir un Paris où les monuments historiques ne sont pas toujours exactement à leur place, un Paris où faux flics, vrais loufiats, vrais flics et faux loufiats se démènent au milieu de touristes émerveillés, de veuves en rupture d'orphelinat, et de perroquets qui ont leur mot à dire. Bref un Paris dont les habitants semblent tous dépourvus de papiers d'identité. L'auteur a mis en tête de cet ouvrage une épigraphe d'Aristote : c'est donc qu'il doit y avoir une morale à tout cela. Mais le lecteur n'est pas forcé de s'en soucier, non plus que de chercher à résoudre des énigmes - d'ailleurs inexistantes. |
Zazie dans le metro [texte imprimé] / Raymond QUENEAU (1903-1976), Auteur . - Paris : Gallimard, 2012 . - 239 p. : couv. ill. ; 18 cm. - ( Folio; 103) . ISBN : 978-2-07-036103-8 : 6,20 € Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
C'est parce que l'oncle Gabriel est " danseuse de charme " que Julie Lalochère lui a confié sa fille, Zazie - pour plus de sécurité. Zazie voulait prendre le métro : mais il y a grève. Gabriel la consolera en lui faisant voir un Paris où les monuments historiques ne sont pas toujours exactement à leur place, un Paris où faux flics, vrais loufiats, vrais flics et faux loufiats se démènent au milieu de touristes émerveillés, de veuves en rupture d'orphelinat, et de perroquets qui ont leur mot à dire. Bref un Paris dont les habitants semblent tous dépourvus de papiers d'identité. L'auteur a mis en tête de cet ouvrage une épigraphe d'Aristote : c'est donc qu'il doit y avoir une morale à tout cela. Mais le lecteur n'est pas forcé de s'en soucier, non plus que de chercher à résoudre des énigmes - d'ailleurs inexistantes. |
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