Titre : |
Maître des jardins noirs : micro-roman |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
André-Marcel (Belge) ADAMEK (1946-....), Auteur |
Editeur : |
Bruxelles : Bernard Gilson |
Année de publication : |
DL 1993 |
Collection : |
Micro-Roman |
Importance : |
115 p. |
Présentation : |
couv. ill. |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-87269-043-5 |
Prix : |
6 € |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840(493)-3 Roman belge de langue française |
Résumé : |
À Champleure, un coin reculé de la campagne, Quentin, un traducteur, Anaïs et leurs trois enfants viennent d’emménager dans leur nouvelle demeure. La famille pense avoir trouvé un havre de paix. C’était sans compter la curiosité des voisins, un vieux couple qui s’intéresse à la vie et à l’histoire des nouveaux venus. Au fil des jours s’établit un lien ambigu entre ces personnages.
«Je ne puis plus me passer de les regarder vivre, de mesurer leurs gestes, de surprendre leur moindre déplacement dans le paysage. Leurs journées ont remplacé les miennes et l’écho de leurs voix résonne au fond de mes nuits. J’ai su dès le premier instant qu’une lancinante menace planait sur ce tableau de la jeunesse, de la beauté et du bonheur. Quelque chose va se passer ici, en n, dont je serai le témoin inéluctable.» |
Maître des jardins noirs : micro-roman [texte imprimé] / André-Marcel (Belge) ADAMEK (1946-....), Auteur . - Bruxelles : Bernard Gilson, DL 1993 . - 115 p. : couv. ill. ; 18 cm. - ( Micro-Roman) . ISBN : 978-2-87269-043-5 : 6 € Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840(493)-3 Roman belge de langue française |
Résumé : |
À Champleure, un coin reculé de la campagne, Quentin, un traducteur, Anaïs et leurs trois enfants viennent d’emménager dans leur nouvelle demeure. La famille pense avoir trouvé un havre de paix. C’était sans compter la curiosité des voisins, un vieux couple qui s’intéresse à la vie et à l’histoire des nouveaux venus. Au fil des jours s’établit un lien ambigu entre ces personnages.
«Je ne puis plus me passer de les regarder vivre, de mesurer leurs gestes, de surprendre leur moindre déplacement dans le paysage. Leurs journées ont remplacé les miennes et l’écho de leurs voix résonne au fond de mes nuits. J’ai su dès le premier instant qu’une lancinante menace planait sur ce tableau de la jeunesse, de la beauté et du bonheur. Quelque chose va se passer ici, en n, dont je serai le témoin inéluctable.» |
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