Titre : |
L'homme aux loups : à partir de l'histoire d'une névrose infantile |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Sigmund FREUD (1856-1939), Auteur |
Editeur : |
Paris : PUF (Presses Universitaires de France) |
Année de publication : |
1990 |
Autre Editeur : |
Quadrige |
Importance : |
121 p. |
Présentation : |
couv. ill. |
Format : |
19 cm. |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-13-043400-9 |
Prix : |
8.68 € |
Note générale : |
trad. de l'Allemand par Janine Altounian et Pierre Cotet, préf. de Patrick F.,Mahony |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
FREUD INFANTILE NEVROSE PSYCHANALYSE |
Index. décimale : |
159.964.26 Ecoles et systèmes psychanalytiques. CR 159.964 |
Résumé : |
J 'ai rêvé que c'est la nuit et que je suis couché dans mon lit (le pied de mon lit était contre la fenêtre, devant la fenêtre se trouvait une rangée de vieux noyers ; je sais, c'était l'hiver lorsque je rêvais, et de nuit). Soudain, la fenêtre s'ouvre d'elle-même et je vois avec un grand effroi que sur le grand noyer devant la fenêtre quelques loups blancs sont assis. Ils étaient au nombre de six ou sept. Les loups étaient tout blancs et avaient plutôt l'air de renards ou de chiens de berger, car ils avaient de grandes queues comme des renards et leurs oreilles étaient pointées comme chez les chiens quand ils guettent quelque chose. En proie à une grande angoisse, celle manifestement d'être dévoré par les loups, je poussai un cri et me réveillai.
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L'homme aux loups : à partir de l'histoire d'une névrose infantile [texte imprimé] / Sigmund FREUD (1856-1939), Auteur . - Paris : PUF (Presses Universitaires de France) : Quadrige, 1990 . - 121 p. : couv. ill. ; 19 cm. ISBN : 978-2-13-043400-9 : 8.68 € trad. de l'Allemand par Janine Altounian et Pierre Cotet, préf. de Patrick F.,Mahony Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
FREUD INFANTILE NEVROSE PSYCHANALYSE |
Index. décimale : |
159.964.26 Ecoles et systèmes psychanalytiques. CR 159.964 |
Résumé : |
J 'ai rêvé que c'est la nuit et que je suis couché dans mon lit (le pied de mon lit était contre la fenêtre, devant la fenêtre se trouvait une rangée de vieux noyers ; je sais, c'était l'hiver lorsque je rêvais, et de nuit). Soudain, la fenêtre s'ouvre d'elle-même et je vois avec un grand effroi que sur le grand noyer devant la fenêtre quelques loups blancs sont assis. Ils étaient au nombre de six ou sept. Les loups étaient tout blancs et avaient plutôt l'air de renards ou de chiens de berger, car ils avaient de grandes queues comme des renards et leurs oreilles étaient pointées comme chez les chiens quand ils guettent quelque chose. En proie à une grande angoisse, celle manifestement d'être dévoré par les loups, je poussai un cri et me réveillai.
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