Titre : |
L'amour après |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Marceline LORIDAN-IVENS, Auteur ; Judith PERRIGNON (1967-....), Collaborateur |
Editeur : |
Paris : Grasset |
Année de publication : |
impr. 2017 |
Importance : |
156 p. |
Format : |
21 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-246-81243-2 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Amour Camps de concentration -- Récits personnels
|
Index. décimale : |
840-94 Mémoires, journaux intimes de langue française. |
Résumé : |
«Le téléphone sonne. C’est Charlotte qui m’appelle d’Israël. Nous étions dans la même classe à Montélimar. Elle a été arrêtée après moi, mais je ne l’ai pas croisée à Birkenau.
― Qu’est-ce que tu fais en ce moment ? demande-t-elle.
― Je travaille sur l’amour.
Un silence alors, comme si le mot amour s’égarait, se cognait dans sa tête. Elle ne sait qu’en faire.
― L’amour au camp ou quoi ?
― Après les camps.
― Ah, c’est mieux. L’amour au camp, j’en ai pas vu beaucoup.»
Comment aimer, s’abandonner, désirer, jouir, quand on a été déportée à quinze ans ? Retrouvant à quatre-vingt-neuf ans sa « valise d’amour », trésor vivant des lettres échangées avec les hommes de sa vie, Marceline Loridan-Ivens se souvient… Un récit merveilleusement libre sur l’amour et la sensualité. |
L'amour après [texte imprimé] / Marceline LORIDAN-IVENS, Auteur ; Judith PERRIGNON (1967-....), Collaborateur . - Paris : Grasset, impr. 2017 . - 156 p. ; 21 cm. ISBN : 978-2-246-81243-2 Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Amour Camps de concentration -- Récits personnels
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Index. décimale : |
840-94 Mémoires, journaux intimes de langue française. |
Résumé : |
«Le téléphone sonne. C’est Charlotte qui m’appelle d’Israël. Nous étions dans la même classe à Montélimar. Elle a été arrêtée après moi, mais je ne l’ai pas croisée à Birkenau.
― Qu’est-ce que tu fais en ce moment ? demande-t-elle.
― Je travaille sur l’amour.
Un silence alors, comme si le mot amour s’égarait, se cognait dans sa tête. Elle ne sait qu’en faire.
― L’amour au camp ou quoi ?
― Après les camps.
― Ah, c’est mieux. L’amour au camp, j’en ai pas vu beaucoup.»
Comment aimer, s’abandonner, désirer, jouir, quand on a été déportée à quinze ans ? Retrouvant à quatre-vingt-neuf ans sa « valise d’amour », trésor vivant des lettres échangées avec les hommes de sa vie, Marceline Loridan-Ivens se souvient… Un récit merveilleusement libre sur l’amour et la sensualité. |
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