Titre : |
L'institutrice d'Izieu |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Dominique MISSIKA, Auteur |
Editeur : |
Paris : Points |
Année de publication : |
DL 2016 |
Collection : |
Points, ISSN 0768-0481 num. P4300 |
Importance : |
227 p. |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-7578-5965-0 |
Prix : |
6,90 € |
Note générale : |
Bibliogr., 2 p. |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Enfants juifs pendant la Shoah -- France -- Izieu (Ain) Izieu, Rafle d' (1944) Perrier, Gabrielle (1922-....) -- Biographies
|
Mots-clés : |
Shoah Juif Déportation Auschwitz |
Index. décimale : |
840-94 Mémoires, journaux intimes de langue française. |
Résumé : |
Le 6 avril 1944, à Izieu, sur ordre de Klaus Barbie, 44 enfants, âgés de 5 à 17 ans, et leurs sept moniteurs sont raflés par des soldats allemands. Gabrielle Perrier est leur institutrice, elle a 21 ans et elle n'est pas avec eux ce jour-là. La culpabilité de ne pas avoir eu conscience du danger que couraient ses élèves la poursuivra toute son existence. Modeste, discrète, elle dissimulera son chagrin en se réfugiant dans le silence, jusqu'au procès de Klaus Barbie, quarante-trois ans plus tard. Là, elle pourra enfin porter le deuil de ses élèves morts à Auschwitz. |
L'institutrice d'Izieu [texte imprimé] / Dominique MISSIKA, Auteur . - Paris : Points, DL 2016 . - 227 p. : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - ( Points, ISSN 0768-0481; P4300) . ISBN : 978-2-7578-5965-0 : 6,90 € Bibliogr., 2 p. Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Enfants juifs pendant la Shoah -- France -- Izieu (Ain) Izieu, Rafle d' (1944) Perrier, Gabrielle (1922-....) -- Biographies
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Mots-clés : |
Shoah Juif Déportation Auschwitz |
Index. décimale : |
840-94 Mémoires, journaux intimes de langue française. |
Résumé : |
Le 6 avril 1944, à Izieu, sur ordre de Klaus Barbie, 44 enfants, âgés de 5 à 17 ans, et leurs sept moniteurs sont raflés par des soldats allemands. Gabrielle Perrier est leur institutrice, elle a 21 ans et elle n'est pas avec eux ce jour-là. La culpabilité de ne pas avoir eu conscience du danger que couraient ses élèves la poursuivra toute son existence. Modeste, discrète, elle dissimulera son chagrin en se réfugiant dans le silence, jusqu'au procès de Klaus Barbie, quarante-trois ans plus tard. Là, elle pourra enfin porter le deuil de ses élèves morts à Auschwitz. |
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