Titre : |
Le coupe-ongles : Le jour où ils l'ont pris à mon fils, j'ai compris que c'était grave |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Stéphane ALEXANDRE, Auteur |
Editeur : |
Paris : Les Arènes |
Année de publication : |
2011 |
Importance : |
232 p. |
Présentation : |
couv. ill. |
Format : |
22 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-35204-133-7 |
Prix : |
18.40 € |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Pères et fils Récits personnels Schizophrénie -- Récits personnels
|
Index. décimale : |
840-94 Mémoires, journaux intimes de langue française. |
Résumé : |
Ce livre est une formidable déclaration d amour d un père à son fils. Un père qui n est pas un héros, un père lucide, un père aussi fondamentalement faillible qu humain. UNE MALADIE QU ON NE VOIT PAS VENIR
La schizophrénie survient le plus souvent en fin d adolescence, entre 15 et 25 ans. Il y a dans cette psychose des signes avant-coureurs que Stéphane Alexandre n a pas repérés : la négligence physique, l appauvrissement du langage, le manque de motivation, le repli social. Tout cela, il l a attribué à la crise d adolescence. Dans ce livre, il revient sur ces années d incompréhension. Pour mieux comprendre, pour exorciser la culpabilité, pour aider d autres parents à y voir plus clair, plus tôt. UNE PLONGÉE DANS L UNIVERS ÉTRANGE DE L HÔPITAL PSYCHIATRIQUE
Un Français sur cent est atteint de cette maladie incurable. Pendant des mois, Stéphane Alexandre prend le TGV tous les week-ends pour rendre visite à son fils dans un grand hôpital psychiatrique lyonnais. Il décrit une véritable saga, avec des rebondissements, des mystères, des bons et des méchants. UN REGARD SUR UNE MALADIE QUI FAIT PEUR
Dans les médias, la schizophrénie est associée à tort à des crimes violents (le meurtre des deux infirmières de Pau). Il est temps que la société, l école, la médecine ouvrent les yeux sur l exclusion, l incompréhension, le silence que 800 000 citoyens endurent. COMME UN ROMAN
L écriture, violente et dure, taille à vif dans le réel et touche au plus profond de nous : Stéphane Alexandre, par son métier de journaliste et d écrivain, nous fait vivre son expérience avec beaucoup d intensité, sans mièvrerie. |
Le coupe-ongles : Le jour où ils l'ont pris à mon fils, j'ai compris que c'était grave [texte imprimé] / Stéphane ALEXANDRE, Auteur . - Paris : Les Arènes, 2011 . - 232 p. : couv. ill. ; 22 cm. ISBN : 978-2-35204-133-7 : 18.40 € Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Pères et fils Récits personnels Schizophrénie -- Récits personnels
|
Index. décimale : |
840-94 Mémoires, journaux intimes de langue française. |
Résumé : |
Ce livre est une formidable déclaration d amour d un père à son fils. Un père qui n est pas un héros, un père lucide, un père aussi fondamentalement faillible qu humain. UNE MALADIE QU ON NE VOIT PAS VENIR
La schizophrénie survient le plus souvent en fin d adolescence, entre 15 et 25 ans. Il y a dans cette psychose des signes avant-coureurs que Stéphane Alexandre n a pas repérés : la négligence physique, l appauvrissement du langage, le manque de motivation, le repli social. Tout cela, il l a attribué à la crise d adolescence. Dans ce livre, il revient sur ces années d incompréhension. Pour mieux comprendre, pour exorciser la culpabilité, pour aider d autres parents à y voir plus clair, plus tôt. UNE PLONGÉE DANS L UNIVERS ÉTRANGE DE L HÔPITAL PSYCHIATRIQUE
Un Français sur cent est atteint de cette maladie incurable. Pendant des mois, Stéphane Alexandre prend le TGV tous les week-ends pour rendre visite à son fils dans un grand hôpital psychiatrique lyonnais. Il décrit une véritable saga, avec des rebondissements, des mystères, des bons et des méchants. UN REGARD SUR UNE MALADIE QUI FAIT PEUR
Dans les médias, la schizophrénie est associée à tort à des crimes violents (le meurtre des deux infirmières de Pau). Il est temps que la société, l école, la médecine ouvrent les yeux sur l exclusion, l incompréhension, le silence que 800 000 citoyens endurent. COMME UN ROMAN
L écriture, violente et dure, taille à vif dans le réel et touche au plus profond de nous : Stéphane Alexandre, par son métier de journaliste et d écrivain, nous fait vivre son expérience avec beaucoup d intensité, sans mièvrerie. |
|