Titre : |
Laisse pas traîner ton fils |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Rachid SANTAKI, Auteur |
Editeur : |
Paris [France] : Filature(s) |
Année de publication : |
2020 |
Importance : |
151 p. |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
22 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-491-50705-3 |
Prix : |
18 € |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
Automne 2017, Un adolescent filme le lynchage d’un jeune, torturé, dénudé et jeté dans un canal. Les auteurs ont été arrêtés quelques jours plus tard. Le corps a été retrouvé à deux-cents kilomètre du lieu du tournage. Sofiane, dix-sept ans n’a pas porté de coups mais a tout filmé, a laissé ses complices tuer pour cinq-cents euros… Il a été arrêté et incarcéré.
Rachid Santaki part de ce fait divers pour plonger au cœur de la violence qui anime la jeunesse dans les quartiers et essaie de répondre à cette question : comment en est-on arrivé là ? A travers des ateliers d’écriture dans des centres de détention pour mineurs, le procès des acteurs du lynchage et ses échanges avec les familles, il se heurte à cette violence, à la misère sociale et à l’implacable loi de la cité. |
Laisse pas traîner ton fils [texte imprimé] / Rachid SANTAKI, Auteur . - Paris [France] : Filature(s), 2020 . - 151 p. : couv. ill. en coul. ; 22 cm. ISBN : 978-2-491-50705-3 : 18 € Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
Automne 2017, Un adolescent filme le lynchage d’un jeune, torturé, dénudé et jeté dans un canal. Les auteurs ont été arrêtés quelques jours plus tard. Le corps a été retrouvé à deux-cents kilomètre du lieu du tournage. Sofiane, dix-sept ans n’a pas porté de coups mais a tout filmé, a laissé ses complices tuer pour cinq-cents euros… Il a été arrêté et incarcéré.
Rachid Santaki part de ce fait divers pour plonger au cœur de la violence qui anime la jeunesse dans les quartiers et essaie de répondre à cette question : comment en est-on arrivé là ? A travers des ateliers d’écriture dans des centres de détention pour mineurs, le procès des acteurs du lynchage et ses échanges avec les familles, il se heurte à cette violence, à la misère sociale et à l’implacable loi de la cité. |
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