| Titre : |
Adolescence et insécurité |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Didier ROBIN, Auteur |
| Editeur : |
Bruxelles : Ministère de la Communauté Française de Belgique |
| Année de publication : |
2009 |
| Autre Editeur : |
Bruxelles : Yapaka.be |
| Collection : |
Temps d'Arrêt / Lectures |
| Importance : |
61 p. |
| Format : |
18 cm |
| Langues : |
Français (fre) |
| Catégories : |
Sécurité (psychologie)
Violence chez l'adolescent
|
| Mots-clés : |
ADOLESCENCE INSECURITE VIOLENCE PSYCHOLOGIE |
| Index. décimale : |
159.922.8 Psychologie de l'adolescent. |
| Résumé : |
 Pourquoi associer adolescence et insécurité ? Les adolescents seraient-ils fauteurs de troubles, ou responsables de l'insécurité ? Pourtant, une réflexion argumentée questionne ce stéréotype. Le sentiment d'insécurité contemporain paraît fondé à partir d'enjeux plus complexes que la seule "violence des jeunes". Il se déploierait au rythme de l'isolement individualiste grandissant. De ce point de vue, les adolescents sont à l'avant-garde. Moins parce qu'ils seraient particulièrement dangereux pour les autres, mais plus parce qu'ils sont en première ligne des bouleversements sociaux. Et les individus contemporains ne sont-ils pas livrés à une anxiété nouvelle, aussi plus enclins à retourner leur agressivité contre eux-mêmes ?
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Adolescence et insécurité [texte imprimé] / Didier ROBIN, Auteur . - Bruxelles : Ministère de la Communauté Française de Belgique : Bruxelles : Yapaka.be, 2009 . - 61 p. ; 18 cm. - ( Temps d'Arrêt / Lectures) . Langues : Français ( fre)
| Catégories : |
Sécurité (psychologie)
Violence chez l'adolescent
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| Mots-clés : |
ADOLESCENCE INSECURITE VIOLENCE PSYCHOLOGIE |
| Index. décimale : |
159.922.8 Psychologie de l'adolescent. |
| Résumé : |
Pourquoi associer adolescence et insécurité ? Les adolescents seraient-ils fauteurs de troubles, ou responsables de l'insécurité ? Pourtant, une réflexion argumentée questionne ce stéréotype. Le sentiment d'insécurité contemporain paraît fondé à partir d'enjeux plus complexes que la seule "violence des jeunes". Il se déploierait au rythme de l'isolement individualiste grandissant. De ce point de vue, les adolescents sont à l'avant-garde. Moins parce qu'ils seraient particulièrement dangereux pour les autres, mais plus parce qu'ils sont en première ligne des bouleversements sociaux. Et les individus contemporains ne sont-ils pas livrés à une anxiété nouvelle, aussi plus enclins à retourner leur agressivité contre eux-mêmes ?
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